Description du livre
Ce livre fait la promotion du bien-être des biens communs grâce à la représentation et à la reddition de comptes par la surveillance à partir de la base afin d'opérationnaliser l'engagement. Ce livre considère le bien commun comme un concept juridique, un concept de gouvernance transformatrice et une base pour une éthique systémique. Les chapitres mettent l'accent sur les réponses pratiques à des problèmes complexes qui comprennent de nombreuses variables interdépendantes et qui sont perçus différemment par des intervenants ayant des valeurs et des expériences de vie différentes. En tenant compte de ces différentes parties prenantes, l'objectif est de mettre en évidence les moyens de régénérer et de dynamiser les possibilités d'emploi. Le livre identifie des pistes vers une formation professionnelle éthique pour permettre aux citoyens actifs de s'engager tout au long de leur vie, ce qui nécessite un apprentissage par l'action pour aborder les domaines de préoccupation politique perçus. Tout au long des chapitres de cet ouvrage, les auteurs discutent de la recherche transformatrice et de ses répercussions sur les intervenants. Ils se concentrent sur la re-présentation et ses implications pour la pensée et la pratique. Un auteur plaide en faveur de la promotion d'approches non anthropocentriques du développement éthique. En outre, les chapitres couvrent des études de cas, y compris les défis de gouvernance associés à la gestion de l'eau selon une approche mixte, ainsi que la production de champignons en collaboration avec les caféiculteurs de Jakarta. L'ouvrage met l'accent sur les moyens de décolonialiser la formation du savoir dans les politiques publiques et plaide en faveur d'une approche alternative de la gouvernance et de la démocratie qui tienne compte des différents points de vue des populations locales.